Ce que les coureurs pense du parcours de la vuelta 2012.
Juan José Cobo (ESP/Movistar, vainqueur de l'édition 2011) : «Cette Vuelta est super exigeante. Peut-être même trop exigeante pour moi. Je pense que les trois jours dans les Asturies vont être décisifs pour cette Vuelta. Ce parcours est peut-être même trop relevé pour moi. Mais bon, quand j'ai gagné la Vuelta l'année dernière dans l'Angliru, je ne pensais pas non plus être capable de le faire.»
Samuel Sanchez (ESP/Euskaltel) : «Dans l'ensemble, cette Vuelta propose un parcours intéressant. Il y a beaucoup d'arrivées au sommet, mais de ces arrivés courtes, nerveuses, pas interminables. Le contre-la-montre individuel, assez court (40 km), ne devrait pas avoir un grand poids sur cette Vuelta.»
Joaquim Rodriguez (ESP/Katusha) : «S'il est là, Alberto Contador sera le grand favori, et de loin. Il y a de belles arrivées en côte, nerveuses, comme je les aime. Et la part de contre-la-montre individuel, un cauchemar pour moi, est limitée».
Juan José Cobo (ESP/Movistar, vainqueur de l'édition 2011) : «Cette Vuelta est super exigeante. Peut-être même trop exigeante pour moi. Je pense que les trois jours dans les Asturies vont être décisifs pour cette Vuelta. Ce parcours est peut-être même trop relevé pour moi. Mais bon, quand j'ai gagné la Vuelta l'année dernière dans l'Angliru, je ne pensais pas non plus être capable de le faire.»
Samuel Sanchez (ESP/Euskaltel) : «Dans l'ensemble, cette Vuelta propose un parcours intéressant. Il y a beaucoup d'arrivées au sommet, mais de ces arrivés courtes, nerveuses, pas interminables. Le contre-la-montre individuel, assez court (40 km), ne devrait pas avoir un grand poids sur cette Vuelta.»
Joaquim Rodriguez (ESP/Katusha) : «S'il est là, Alberto Contador sera le grand favori, et de loin. Il y a de belles arrivées en côte, nerveuses, comme je les aime. Et la part de contre-la-montre individuel, un cauchemar pour moi, est limitée».